vendredi 27 mars 2020

Comment accoucher toute seule



Comment accoucher toute seule (si vous n’avez aucun autre choix) ?

femme enceinte douleur

Les femmes enceintes le redoutent mais que faire en cas d’accouchement inopiné ? Sans l’aide d’un obstétricien ou d’un professionnel de santé, comment ne pas paniquer ? Quelles sont les étapes à suivre pour accoucher seule ?
On entend parfois ces histoires d’accouchement dans un train, un taxi ou encore dans l’ambulance sur le trajet… Cela arrive rarement, et pourtant, cela fait partie des craintes des femmes enceintes : que faire si on ne peut pas aller jusqu’à la maternité pour accoucher ? A cause de la neige, d’un bébé qui veut trop vite venir au monde, d’une circulation dense ou d’un isolement géographique, certaines femmes doivent faire face à cette épreuve sans l’aide d'un médecin. Mais si cela arrive, comment réagir ? Que vous soyez la femme enceinte en plein travail ou si vous vous retrouvez sans le vouloir témoin (et très vite acteur) d’un accouchement inopiné, voici les étapes à suivre.

Appeler les secours

Cela peut paraitre évident et pourtant… C’est la première chose à faire. En premier lieu, ils pourront évaluer la situation et déterminer si l’accouchement est imminent ou non. Par ailleurs, même si vous savez qu’ils n’auront pas la possibilité d’arriver à temps, ils pourront prendre en charge la maman et son bébé le plus tôt possible s’ils sont prévenus. « On peut aussi demander à ce qu'une personne du standard des urgences reste en ligne », avance Valérie Dupin, Coprésidente de l'association Doulas de France. Elle ajoute de « ne pas oublier de déverrouiller toutes les portes si vous êtes à l’intérieur ».

S’installer dans un endroit chaud

Ensuite, il va falloir faire avec l’environnement du moment. Si vous êtes dans une maison, elle conseille ainsi « d'aller dans la pièce la plus chaude pour qu'à la naissance du bébé, le choc thermique soit le plus faible possible pour lui ». Si vous vous trouvez dans un autre environnement, cherchez l’endroit le plus chaud possible. « N’hésitez pas à récupérer des serviettes de toilette ou des couvertures pour mettre autour de vous ».

Trouver SA position idéale pour accoucher

Le travail va ensuite commencer. La femme enceinte va devoir faire preuve de courage et sang-froid pour appliquer ce qu’elle a appris à sa préparation à l’accouchement. Pour Valérie Dupin, la future maman doit essayer « de prendre la position qui vient spontanément et de laisser faire, de se laisser guider par son instinct ».

Appliquer quelques règles de base pour la délivrance

Lorsque la tête est sortie, soutenez la en attendant d'accompagner la sortie du bébé. "Une fois la tête sortie, on peut attendre la contraction suivante pour la libération totale du bébé", avance François Bardes, sage-femme. Il ne faut surtout pas tirer sur la tête, ni sur le cordon ombilical.

Installer le bébé auprès de sa maman

Placez ensuite le bébé sur le ventre de la maman (le peau à peau avec bébé est de plus en plus fréquent à la maternité), couvrez-les et surveillez-les. Prêtez tout spécialement attention à la respiration du bébé. Elle doit être régulière et non gênée.

Avertissement : l’accouchement sans assistance médicale est loin d’être sans risque

En aucun cas ces quelques règles doivent valoir de mode d’emploi pour un accouchement à domicile volontaire. En effet, cette marche à suivre s’adresse à des cas d’urgence. Loin des structures d'urgence hospitalières, les futures mamans encourent toujours le risque d'être moins bien prises en charge si l'accouchement venait à mal se passer. « Que faire en cas de bébé en siège ? De dystocie des épaules ? Ou de procidence du cordon ? Une naissance inopinée n'est pas sans danger et certaines complications peuvent être difficilement solubles par un non initié, rappelle ainsi notre sage-femme François Bardes. Cependant, si un accouchement inopiné intervient, cela reste dans la plupart des cas très rapide et fluide (sinon, on a le temps de se rendre à la maternité, sauf cas extrême d’embouteillage ou de neige, par exemple). »
Si vous souhaitez donner naissance à votre enfant chez vous, il faudra être encadrée et bien vous préparer en suivant les recommandations d'un AAD (accouchement à domicile) en France.

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La garde et ses déplacements


Les fondamentaux du combat rapproché


Les abdos


Les différents type de masque de protection sanitaire

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Explosivité des membres supérieurs


Explosivité des membres inférieurs


Sport en espace confiné


l'écorce de bouleau en survie


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Survivaliste nomade : le camp de base

Survivaliste nomade 

 le camp de base

Survivaliste nomade : le camp de base
Cet article s’adresse particulièrement au survivaliste nomade.
Si on est certain que la situation de bivouac ne durera que quelques jours, les aménagements seront ceux d’un camping sauvage ordinaire.
Le cas échéant, si la situation de bivouac est forcée et risque de durer, il faudra alors anticiper sur quelques point.

Le camp de base nomade

Un camp de base est un camp qui peut satisfaire sa fonction pour une durée indéterminée.
On pourrait penser que l’état du nomade rime avec la précarité, mais ce serait un sentiment très schématique.
Le survivaliste nomade ,n’est pas forcément une personne qui change de lieu chaque jour.
Dans un contexte justifiant d’établir un camp de base, celui-ci doit être défini selon certains critères essentiels.
Dès lors qu’il s’agit de s’y établir pour quelques mois ou années, il faut s’assurer un minimum de confort vital.
survivalisme-survie

Emplacement d’un camp de base nomade

Le survivaliste nomade se concentre sur trois aspects majeurs à maîtriser dès le départ afin d’établir le camp de base d’une manière pérenne.
La pérennité de l’installation devient essentielle si la situation suggère qu’aucun secours ne viendra sous peu.
  1. la configuration du terrain
  2. l’accès aux ressources
  3. la confidentialité
1. la configuration du terrain:
Il vaut mieux adapter ses stratégies au terrain plutôt que l’inverse.
Ça paraît logique mais vous seriez surpris de voir parfois les réactions en situation réelle.
Le terrain doit assurer une position favorable, d’un point de vue militaire.
La topographie du lieu doit être le facteur déterminant des choix pour le lieu d’installation.
Ceci vaut aussi en ambiance urbaine, ou en ambiance grand-froid.
Afin de ne pas s’épuiser sur la durée, il convient de s’assurer dès le commencement de l’installation que la situation du camp de base est défendable.
survivaliste nomade
2. l’accès aux ressources: 
C’est le critère le plus critique !
Il est toujours préférable d’avoir un accès à l’eau et aux principales ressources, que ce soit le bois ou ce qu’on trouve dans les bois.
Les ressources concernent aussi la construction du camp de base:
Si il y a beaucoup de pierres on utilisera de la pierre, par exemple, …et si il fait -30 on fera plutôt un igloo, logique non ?
Utiliser au maximum les ressources disponibles immédiatement, et dans la plus grande abondance.
3. la confidentialité: 
Si on est en place dans le contexte et bien comme il faut, les crevars sont la première source d’ennuis potentiels.
On doit donc s’assurer d’utiliser le terrain au maximum, pour essayer de s’y fondre au mieux, discrétos amigos
Il faudra choisir de préférence un coin difficile à assaillir sur plusieurs fronts simultanés.

Périmètre du camp de base

Pour assurer une sécurité correcte du périmètre défensif critique aux abords du camp de base, les lieux en position dominante sont bien entendu les plus faciles à défendre.
Dans l’absolu, si on arrive à partir du camp de base, à voir les arrivants potentiels sans encore être vu, la position est bonne.
Confort
Outre l’accès à l’eau, un peu d’électricité peut également être obtenue à l’aide d’un kit solaire nomade. Kit plus ou moins réduit ou étendu, en fonction des besoins:

Calculateur de Stockage Alimentaire

cliquer sur le lien  : Calculateur de Stockage Alimentaire

Miel au curcuma : l’antibiotique naturel préféré des médecins

Miel au curcuma : l’antibiotique naturel préféré des médecins

Les antibiotiques ont pu prouver leur efficacité sur petits et grands, mais comme tout médicament, ils comportent des risques importants sur la santé. Savez-vous que vous pouvez préparer votre antibiotique naturel vous-même ? Dans cet article nous allons vous livrer les secrets de deux ingrédients présents dans tous les foyers et qui peuvent avoir le même effet puissant qu’un antibiotique sans effets secondaires.

Les antibiotiques sont des médicaments puissants qui traitent les infections  causées par des germes (certains parasites et bactéries). Ces médicaments ne fonctionnent pas contre les maladies causées par des virus, tels que la grippe ou le rhume, ou causées par des champignons tels que les infections cutanées fongiques. Pour éviter les dangers de la prise des antibiotiques, il existe deux aliments naturels extrêmement puissants : le curcuma et le miel.

Le curcuma et le miel, un mélange qui n’a pas de prix !

Les bienfaits du curcuma :

Avec certitude, le curcuma est l’une des épices les plus populaires dans le monde entier et il possède des propriétés culinaires et médicinales extraordinaires. Il a été utilisé dans la médecine ayurvédique, indienne et chinoise pendant des millénaires. Cette épice a une saveur unique et une couleur jaune foncé. On l’utilise comme un remède naturel puissant pour une variété de problèmes de santé tels que les problèmes respiratoires, les maladies du foie, les problèmes cutanés, les entorses musculaires, les coupures et les blessures et les problèmes gastriques. De plus, il peut être très bénéfique contre les problèmes de digestion, les différents types d’infections, les inflammations, ainsi que les tumeurs malignes.
Le curcuma doit ses puissantes vertus à son composé le plus actif qui est la curcumine. La curcumine possède des caractéristiques anti-inflammatoires, antioxydantes et antimicrobiennes qui en font la solution naturelle parfaite aux microbes, à la gastrite, aux ulcères gastriques et à la bactérie H. pylori.
La recherche montre que cette substance vitale a un impact positif sur l’ADN, la survie cellulaire et les molécules d’inflammation. Elle a également la capacité de réduire les symptômes de l’arthrose et d’améliorer les fonctions cérébrales

Les bienfaits du miel :

Le miel est connu pour ses propriétés curatives miraculeuses, les experts affirment qu’il peut prévenir le cancer et les maladies cardiaques, réduire les ulcères, soulager les problèmes digestifs, apaiser la toux et les maux de gorge et améliorer les performances athlétiques.
Qu’est-ce qui rend le miel antimicrobien ? La plupart des abeilles déposent du peroxyde d’hydrogène dans le miel en synthétisant le pollen des fleurs. Cela expliquerait le rôle séculaire du miel dans l’accélération de la guérison des plaies et le traitement des problèmes gastriques. Effectivement, la science moderne a montré l’efficacité du miel dans le traitement des ulcères, des brûlures, des plaies cutanées et de l’inflammation. On sait même que le miel guérit les plaies qui ne réagissent pas aux antibiotiques, mais il faut veiller à ce que le miel soit pur et exempt de contaminants.
La science a également constaté que le miel plus foncé et plus concentré peut être plus puissant et que le type de plantes butinées par les abeilles l’ayant produit affecte les qualités antibactériennes. 
Mais soyez très prudent car le miel ne doit jamais être administré aux enfants de moins d’un an, car les systèmes digestifs des nourrissons ne peuvent pas supporter les contaminants présents dans le miel, comme les spores qui peuvent causer des intoxications mortelles. 
Dans cet article nous allons vous livrer une recette à base de curcuma et miel, ces deux puissants produits dont l’efficacité est similaire à un antibiotique.

Voici comment fabriquer un antibiotique naturel avec du curcuma et du miel ;

Les ingrédients:

  • 1 cuillère à soupe de curcuma
  • 100 grammes de miel biologique

Préparation :

Mettez les ingrédients dans un bocal en verre et mélangez-les bien, conservez ce remède loin de l’humidité à une température ambiante.
Si par exemple vous souffrez de la grippe, prenez une demi-cuillère de cet antibiotique toutes les heures. Le lendemain, prenez la même quantité, mais toutes les 2 heures. Le troisième jour, prenez la même dose, trois fois par jour. Avant d’avaler le mélange, assurez-vous de le faire fondre dans votre bouche. N’hésitez pas à l’ajouter à votre tasse quotidienne de thé ou de tisane tiède. Il est donc important de noter que pour traiter des maladies respiratoires, il est recommandé de prendre 3 cuillerées par jour, pendant une semaine complète.

Mise en garde :

Ce remède doit être évité si vous souffrez d’une maladie biliaire car le curcuma peut provoquer une contraction de la vésicule biliaire. 

Des recettes simples pour réaliser ses cubes de bouillon maison

Des recettes simples pour réaliser ses cubes de bouillon maison

cubes de bouillon maison

Cubes de bouillon maison ou cubes du commerce ?

Les cubes du commerce : des bombes culinaires

Les bouillons cubes déshydratés du commerce, certes très pratiques à utiliser, contiennent cependant des ingrédients peu recommandables pour notre santé.
Ils sont en effet saturés d’additifs et d’exhausteurs de goût (E621, E627, E631, E330), de graisses hydrogénées, d’acidifiants et de glucose. Même les cubes bio contiennent de l’huile de palme.
Mais le plus gros problème c’est surtout son apport, en bien trop grande quantité, de sel.
cubes de bouillon maison
Selon Open Food Facts, qui constitue une base de données collaborative libre et ouverte des produits alimentaires du monde entier, le fameux petit cube à la marque rouge et jaune contient 62.8 g de sel pour 100 g ! Donc, deux cubes dans nos préparations apportent déjà 5,2 g de sel ! Alors que l’Organisme Mondiale de la Santé conseille de ne pas dépasser les 5 g de sel par jour… difficile en consommant les cubes du commerce.
Vous l’aurez compris, le mieux est de préparer ses propres cubes de bouillon maison. D’une part, le goût est bien meilleur et d’autre part, on sait ce que l’on met dedans. Il est tout à fait possible de se concocter des petits cubes à base de légumes, d’herbes, de produits de la mer ou encore de viandes.

Quatre recettes simples de cubes de bouillon maison

Voici 4 recettes très simples que vous pourrez adapter selon vos goûts. Ces petits cubes préparés à l’avance vont vous faciliter le quotidien mais aussi vous permettre de manger plus sainement.
Ces recettes sont des idées de préparations. Vous pouvez très bien imaginer toutes sortes de bouillons et laisser libre cours à vos envies gustatives ! Les cubes de bouillons peuvent aussi varier selon les légumes de saison, alors amusez-vous et bon appétit !

1. Le cube de bouillon aux herbes

Les ingrédients : 1 poivron, 1 gros oignon, 3 gousses d’ail, 1 bouquet garni (ciboulette, persil, basilic, estragon, etc.), 2 c. à s. d’huile d’olive bio, 1 c. à s. de vinaigre blanc, 1 pincée de sel.
La recette :
  1. Pelez les gousses d’ail et l’oignon.
  2. Puis coupez les gousses d’ail et l’oignon en brunoise (petits morceaux).
  3. Lavez ensuite à l’eau claire le bouquet garni.
  4. Épépinez le poivron et coupez-le en brunoise.
  5. Faites alors bouillir 1 L d’eau et plongez tous les ingrédients dedans.
  6. Laissez ensuite infuser à couvert à feux doux pendant 1h30.
  7. Versez dans un bac à glaçons, puis congeler.
Mon astuce : Vous pouvez aussi utiliser des plantes aromatiques sauvages et fraîches : feuilles d’ail des ours, ciboulette, mélisse, estragon, coriandre, aneth ou même ortie. Si vous avez un coin de jardin, vous pouvez également planter de l’ache des montagnes (ou livèche). C’est une plante vivace, dont le goût est proche de celui du céleri, idéale pour aromatiser les plats et les bouillons.

2. Le cube de bouillon aux légumes

Les ingrédients : 2 oignons, 3 gousses d’ail, 2 carottes, 1 poireau, 3 branches de céleri, 1 c. à s. d’huile d’olive bio, 1 petit bouquet de persil (sel, épices, poivres à votre convenance).
La recette :
  1. Pelez les gousses d’ail et les oignons, puis coupez-les en brunoise.
  2. Lavez les carottes, céleri, poireau et persil à l’eau claire.
  3. Coupez-les également en brunoise en conservant les parties vertes du poireau et les fanes des carottes.
  4. Faites alors bouillir 1 L d’eau et plongez tous les ingrédients dedans.
  5. Faites mijoter pendant 1 heure, dans une marmite couverte.
  6. Pressez de temps en temps les légumes pour en faire sortir le jus.
  7. Puis, filtrez le bouillon (passoire fine ou chinois) et mettez-le dans des cubes de glaçons.
  8. Attendez qu’ils refroidissent avant de les placez au congélateur.
  9. Récupérez ensuite les légumes pour préparez un autre plat, ou une soupe par exemple.
Mon astuce : Le bouillon de légumes se prépare avec un mélange de légumes et des herbes. Pour lier les substances aromatiques liposolubles, ajouter à l’eau un peu d’huile végétale. En principe, il ne faut pas dégraisser le bouillon de légumes.

3. Le cube de bouillon aux produits de la mer

Les ingrédients : 1,5 kg de restes de poisson, 2 carottes, 1 gros oignon, 2 échalotes, 1 bouquet garni, poivre, sel.
La recette :
  1. Coupez l’oignon, émincez les échalotes, et faites-les suer dans une noix de beurre.
  2. Lavez et coupez les carottes.
  3. Rincez les déchets et égouttez-les (brisez les arêtes si vous en avez).
  4. Déposez ensuite ces restes de poisson dans une marmite avec 2,5 L d’eau.
  5. Amenez très lentement à ébullition.
  6. Laissez cuire à découvert pendant 5 minutes à feu modéré.
  7. Puis, ajoutez les légumes et le bouquet garni.
  8. Réduisez le feu au minimum et laissez cuire 30 minutes (écumez si nécessaire).
  9. Filtrez le bouillon (passoire fine ou chinois) et mettez-le dans des cubes de glaçons.
  10. Attendez qu’ils refroidissent avant de les placez au congélateur.
Mon astuce : Le bouillon de produits de la mer se fait surtout avec des restes de poisson (têtes, arêtes, queues, etc.). Mais vous pouvez aussi le préparer avec des carapaces de crustacés. Vous pouvez également rajouter 20 cl de vin blanc pour donner plus de goût à vos cubes de bouillon maison.

3. Le cube de bouillon de volaille

Les ingrédients : 1 carcasse de poulet, 2 carottes, 1 navet, 1 branche de céleri, 1 poireau, 2 gros oignons, 1 bouquet garni (persil, ciboulette, thym, estragon, laurier-sauce, etc.), poivre, 1 pincée de sel.
La recette :
  1. Épluchez les oignons, lavez-les puis coupez-les en brunoise tous les légumes.
  2. Rincez le bouquet garni.
  3. Disposez ensuite la carcasse et tous les ingrédients dans une marmite.
  4. Recouvrez de 1,5 L d’eau, salez et poivrez.
  5. Couvrez et portez le tout à ébullition, puis laissez frémir pendant 1 h
  6. Puis, filtrez le bouillon (passoire fine ou chinois) et faites-le refroidir au frigo.
  7. Une fois refroidi, enlevez la couche de graisse durcie, pour avoir un bouillon dégraissé.
  8. Versez le bouillon dans des bacs à glaçons (s’il est trop figé, faites-le réchauffer quelques secondes).
  9. Laissez refroidir avant de les placer au congélateur.
Mon astuce : Le bouillon de volaille se prépare surtout avec une carcasse de poulet. Mais vous pouvez aussi utiliser de la poule ou du canard. Le bouillon de viande, quant à lui, se fait avec du bœuf, du veau ou de l’agneau.
A ne pas oublier : Datez et étiquetez vos cubes de bouillon une fois congeler et stocker séparément. Cela sera plus simple de les différencier. Au congélateur, vos bouillons peuvent se garder 3 mois.
Nous vivons actuellement un changement des habitudes de consommation, une « petite révolution » des consommateurs qui ne sont pas dupes sur la qualité et la dangerosité des produits commercialisés.
Un texte de Sophie Guittat

Le fait-maison à toutes les sauces

Pour aller plus loin dans le fait-maison, et goûter au plaisir de réaliser vous-même vos condiments, je vous conseille ce petit livre au tout petit prix : Mes condiments, chutneys, épices and co ; de Marie Leteuré :
Références : openfoodfacts.org
Faire ses cubes de bouillon maison en créant ainsi des petits concentrés de saveur et de bonheur à partager avec ceux que l’on aime… c’est simple et magnifique à la fois. Parlez-en autour de vous :

Guide de production produit hydro alcoolique

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Medicaments essentiel pour enfant

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jeudi 26 mars 2020

self defense feminin


comment faire son propre gel hydroalcoolique ?


Avec l'arrivée et la propagation du coronavirus Covid-19, il devient indispensable de se protéger en se lavant les mains de manière régulière. Et les gels hydroalcooliques vendus en commerces et pharmacies ont vu leur prix exploser. Comment en préparer soi-même ?
Depuis que le coronavirus se propage à vitesse grand V, notamment en France, les besoins en gel hydroalcoolique se heurtent à des prix qui explosent — jusqu'à 30 euros les 500 mL. Alors Gentside vous présente quelques recettes simplissimes à faire chez vous.
Recette de gel avec des produits pharmaceutiques
On peut d'abord suivre la recette conseillée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), notamment relayée par Futura Sciences. Si elle est faite en priorité pour des professionnels de la pharmacie, elle est toutefois relativement facile à appliquer chez soi. Pour obtenir un litre de solution hydroalcoolique, il va vous falloir :
·         833 mL d'alcool (éthanol 96 % ou isopropanol 99,8 %) ;
·         41,7 mL d'eau oxygénée (péroxyde d'hydrogène 3 %) ;
·         14,5 mL de glycérine (glycérol 98 %) ;
·         eau distillée ou bouillie pour compléter.
Attention, le péroxyde d'hydrogène est corrosif à des concentrations qui dépassent les 3 %. Évitez également les flacons d'alcool vendus dans le commerce, dont la concentration se trouve le plus souvent en-dessous des 70 %.
Maintenant que vous avez vos ingrédients, versez l'alcool dans un récipient gradué. Versez l'eau oxygénée, puis le glycérol et enfin complétez avec l'eau distillée. Répartissez ensuite la solution dans plusieurs petits flacons bien fermés, afin qu'elle ne s'évapore pas. Surtout, attendez 3 jours avant utilisation, pour que le péroxyde d'hydrogène puisse agir.
Recette de gel avec des produits du quotidien
Si les recettes pullulent sur Internet et se contredisent parfois, certaines sources habituellement sûres proposent également leur mode d'emploi, à l'aide de produits plus accessibles dans le commerce et non en pharmacie. Notamment la recette proposée par Top Santé. Il vous faudra donc :
·         1 flacon vide de 100 mL, qu'on prend pour les voyages en avion par exemple ;
·         30 mL de vodka qui fera office d'alcool ;
·         60 mL de gel d'aloe vera ;
·         De l'huile essentielle, de tea tree et de lavande.
Prenez alors votre flacon et remplissez-le à 1/3 de vodka. Ensuite, comptez bien 16 gouttes d'huile essentielle de tea tree, puis 8 gouttes d'huile essentielle de lavande. Terminez enfin avec du gel d'aloe vera, puis mélangez bien. Les huiles essentielles vous apporteront le côté antibactérien ainsi qu'un agréable parfum, et l'aloe vera vous aidera à hydrater vos mains.
Des recettes miracles ?
Au vu de la propagation du coronavirus, ces recettes "Do It Yourself" offrent des alternatives efficaces. Cela vous évitera de contracter un crédit pour vous payer des bouteilles de gel hydroalcoolique en pharmacie. Pour vos bouteilles faites-maison, pensez à étiqueter vos flacons et laissez-les hors de portée des enfants.
Et si l'optique de jouer au petit chimiste ne vous enchante pas, vous pourrez vous contenter du bon vieux duo eau-savon, encore plus efficace que les gels hydroalcooliques pour lutter contre le virus, selon les spécialistes. Il ne restera plus qu'à trouver un point d'eau disponible...


Le thym détruit les infections de la gorge, la grippe, combat les infections respiratoires et bien plus encore


Le thym détruit les infections de la gorge

Surnommé par certains "l'enemmi de la toxine" , le thym fait l’objet de légendes qui remontent à la Grèce Antique. Ainsi, il serait, selon de vieilles croyances, né des larmes de la belle Hélène de Troie, dont l’amour interdit a déclenché une guerre désormais gravée dans l’histoire. Mais au-delà de la légende, le thym est avant tout une herbe vastement utilisée en cuisine. Et contrairement aux origines mythologiques qu’on lui prête, ses vertus pour la santé sont quant à elles, scientifiquement documentées. Zoom sur les bienfaits du roi des lamiacées.
1.Anti-infectieux
2.Anti-inflammatoire
3.Antimicrobien
4.Antiviral
5.Décongestionnant
Mises-en garde

Réputé pour ses nombreuses vertus thérapeutiques, le thym a su se hisser au rang d’indispensable de nos cuisines. Toux, grippe, ou affections respiratoires, le Thymus vulgaris a plus d’un tour dans son sac pour soulager les affections du quotidien. Son utilisation traditionnelle est d’ailleurs reconnue par l’OMS ainsi que par la Coopérative scientifique européenne de phytothérapie (ESCOP), sans oublier que ce dernier est inscrit sur le registre des plantes médicinales de la pharmacopée française. Et pour cause, sous forme d’huile essentielle, en infusion ou en application externe, il dispose d’une pléthore de bienfaits. Passons-les en revue.
Le thym détruit les infections de la gorge

Si le thym se distingue comme un allié santé considérable, c’est en partie grâce à ses vertus anti-infectieuses et antiseptiques. Dans le cadre d’une étude, son utilisation sous forme d’huile essentielle aurait démontré une action considérable contre 120 souches de bactéries issues de patients souffrant d’infections buccales, respiratoires et d’infections génito-urinaires. Consommer du thym sous forme de tisane ou tout simplement le saupoudrer sur vos plats et salades, serait utile pour profiter de ses bienfaits.

Antioxydant et anti-inflammatoire, le thym doit ses vertus à un composé phénolique: le thymol. Selon les chercheurs, ce dernier serait à même de soulager l’asthme en ciblant les radicaux libres responsables de l’inflammation. Jean-Louis Brazier, pharmacologue conseille l’inhalation de thym pour dégager les voies respiratoires. L’idéal est de faire bouillir de l’eau et de la verser dans un bol en y ajoutant 2 cuillères à soupe de thym. Il faudra ensuite pencher la tête au-dessus du récipient en veillant à la couvrir d’une serviette, puis respirer doucement pendant quelques minutes.

Sous forme de tisane, le thym apporterait un soulagement considérable en cas d’inflammation oropharyngée. Sans oublier sa capacité à stimuler l’immunité pour combattre certaines pathologies. Pour une action efficace, vous pouvez le consommer sous forme de tisane, à raison de 3 fois par jour. Il peut être utile d’y ajouter du miel d’eucalyptus aux propriétés expectorantes ou du jus de citron pour ses propriétés antiseptiques.
Le thym détruit les infections de la gorge

En inhalation et sous forme d’huile essentielle, le thym s’avère particulièrement utile pour combattre les symptômes de la grippe. Selon une étude publiée par The American Journal of Essential Oils and Natural Products, l’aromate serait doté de propriétés antivirales utiles pour lutter contre la maladie sans porter atteinte aux cellules épithéliales. Les scientifiques suggèrent également une action efficace contre l’hémagglutinine, une protéine à la surface de la grippe, responsable de sa fixation sur la cellule cible.

Considéré comme un décongestionnant redoutable, le thym s’avère utile pour un grand nombre de pathologies. Selon Thierry Thévenin, producteur herboriste et le Dr Laurent Chevallier, nutritionniste, sa consommation sous forme de tisane serait particulièrement utile pour les voies respiratoires. Un avis partagé par Christelle Lassort, naturopathe et thérapeute en médecines alternatives qui rappelle que le thym « agit sur beaucoup de maladies ORL et respiratoires”. Ce dernier serait doté de vertus expectorantes favorisant le rejet. Un atout de taille en cas de rhume, de toux et d’asthme.
La pharmacienne Christine Cieur-Tranquart conseille d’associer ses vertus antitussives, antivirales et antiseptiques à une plante anti-inflammatoire et émolliente en cas de toux infectieuse ou virale.

L’utilisation du thym est déconseillée aux personnes sous traitement anticoagulant ou en cas de grossesse. À savoir qu’il ne doit pas être consommé sur une durée excédant 3 semaines au risque d’entraîner des dérèglements, des irritations ou de l’hypertension.

Galette de sarrasin sans électricité avec pesto d'ortie et noix

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